jeudi 14 janvier 2010

La consommation



Introduction :

La consommation désigne en premier lieu l'achat mais c'est aussi un ensemble d'usages des biens, des interactions sociales autour de cet acte d'achat, généralement dans le but de satisfaire des besoins ou des désirs. Elle est le fait des consommateurs, des entreprises et de l'État. Elle dépend également des usages des groupes sociaux, des contraintes de la vie collective, de la construction sociale du marché, et des effets de la mondialisation…
Cet article propose une synthèse pour appréhender la vie de la consommation, aussi sur bien sur les évolutions de la consommation, des points économistes et des sociologues mais aussi des politologues, ou encore des religions et sagesses, proposant des analyses plus complémentaires qu'opposées...


La consommation est devenue, au cours du XXe siècle non plus une nécessité (acheter à manger) mais un mode de vie, de comportement et de culture. Il est frappant de constater que la "grand messe" de la consommation n'a pu influencer et modifier les comportements de la majorité des individus que parce qu'une mutation s'est opérée dans la culture. S'il est vrai que la publicité imprimée a beaucoup aidé à amorcer cette transformation de la civilisation, c'est avant tout la radio, puis la télévision qui ont été et sont encore aujourd'hui, plus que jamais, les instruments de la propagande pour cette civilisation du gaspillage.

Du gaspillage a la pollution :

Une règle élémentaire à connaître et dont il faut mesurer les conséquences :

Plus on consomme, plus on pollue.

La société de consommation-gaspillage produit une quantité de déchets phénoménale. En France (et cela doit être à peu près équivalent pour tous les pays dits "industrialisés"), on estime que chaque individu produit en moyenne 350 kilos de déchets ménagers par an, soit environ 1 kilo par jour. La France produit donc 21 millions de tonnes de déchets domestiques par an. S'il est vrai qu'une partie de ces déchets sont organiques (restes alimentaires par exemples) plus de 40% ne sont pas biodégradables et doivent suivre un circuit de recyclage. Or, en 2007, seul 6,2% des déchets ménagers sont recyclés.
Ce déchets ne sont pas constitués uniquement par ce que l'on met à la poubelle, chez soi, mais aussi par tous les appareils et objets, les fameux "encombrants", dont on est bien obligé de se débarrasser lorsqu'ils sont hors d'usage : appareils ménagers irréparables, véhicules envoyés à la casse, sommiers à lattes quand les lattes sont cassées, matelas usés, téléviseurs, enceintes, vieil ordinateur, etc.

Tout le monde connaît les cimetières de voiture : des carcasses rouillées entassées les unes sur les autres et une absence totale de politique de récupération des métaux. Désormais il y a des cimetière de tout : des monticules d'ordinateurs, d'appareils ménagers, de tubes cathodiques (contenant des substances polluantes), etc. Last but not least, on trouve des "cimetières de béton" gigantesques fosses où sont enterrés les débris et matériaux récupérés sur les chantiers de démolition, de construction et de travaux publics. A ce jour, le volume de ces délivres non recyclables ne fait l'objet d'aucune publication statistique de la part des autorités. Certains avancent le chiffre de 100 millions de tonnes annuels.
Un constat tragique : plus rien, dans cette société, n'est construit pour durer. Au contraire, tout est fait, construit, pensé pour être jeté, et pourquoi pas, rêve suprême du marchand, le plus vite possible.

Autrefois, quand l'objet était strictement artisanal, il était fait et pensé pour durer toute une vie et même plus. Il n'était pas rare que l'enfant apprenti hérite les outils de son père. Les meubles, en bois massif, passaient de génération en génération, les maisons construites en matières nobles (bois durs et pierre) duraient plusieurs générations. Aujourd'hui on ne vend que du futile, de l'éphémère, du provisoire. Et comme le pauvre consommateur passe son temps à payer et repayer les même choses qui ne durent pas, il a le sentiment de vivre en location perpétuelle.

Consommation responsable :

Si tous les habitants de la planète adoptaient le rythme actuel de consommation des Nord-Américains, il faudrait environ 5 planètes Terre pour répondre aux besoins de tous. Nos choix de consommation ont un impact sur les conditions de vie des gens de tous les coins de la planète ainsi que sur l’environnement.
Conclusion :

Si on se responsabilise est on se protege la planete la consommation pourra devenir innofensif pour l’environnement .


Titre de la page web: in-terre
Titre de document : Consommation responsable
Date de consultation: 14/1/2010
URL: http://www.in-terre-actif.com/fr/show.php?id=2809


Titre de la page web: Ekopedia
Titre de document : Du gaspillage a la pollution
Date de consultation: 14/1/2010
URL: http://fr.ekopedia.org/Soci%C3%A9t%C3%A9_de_consommation

Titre de la page web: Wikipedia
Titre de document : La Consommation
Date de consultation: 14/1/2010
URL: http://fr.wikipedia.org/wiki/Consommation

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